La poésie de Shawn Cotton frappe par sa liberté. Il y a quelque chose là qui rappelle Denis Vanier mais aussi Geneviève Desrosiers : un foisonnement sauvage qui se joue des niveaux de langue pour faire image du désespoir et du rire. C'est une poésie qui a déjà sa voix propre.
Poèmes. Sous couverture imprimée en flexographie à l'encre argent par Alain Debane de l'atelier Domino à Montréal. 56 pages. 10.2 x 16.3 cm.
Octobre 2012.
« Un recueil chargé à bloc d'images audacieuses, vibrantes, tendues et pouvant rappeler le surréalisme urbain de Denis Vanier, mais où pointe une voix neuve, une musique sachant dire son époque et qui fera certainement date dans le monde de la poésie québécoise.
Christian Girard, Le Libraire